Login

Journée Terre à Terre Laurent Morel : « La proximité de mon concessionnaire avant tout ! »

Laurent Morel est grand utilisateur de télescopique de par son métier d’éleveur. Il doit en changer car son équipement actuel commence à être « trop vieux ». Mais il veut prendre son temps pour prendre sa décision, d’autant que de nombreux critères rentrent en compte. La journée Terre à Terre est pour lui l’occasion d’alimenter cette réflexion.

Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.

 

Laurent Morel est éleveur et cultivateur dans à Neuville au bois, n'a encore pas fait son choix malgré l'offre variée de télescopiques (80) (© Terre-net)
  • Exploitation: polyculture élevage
  • 105 ha de cultures, 35 vaches laitières, 85 vaches allaitantes
  • Equipé actuellement d'un téléscopique de marque : John Deere, 105 ch, 80L débit hydraulique. Utilisation: > 1000 heures/an
  • Recherche: téléscopique puissance 120 ch, 7m, avec plus de débit hydraulique
Dieci, Manitou, Deutz-Fahr… Laurent Morel, agriculteur en visite à la plate-forme Terre à Terre, n’a encore pas tranché, malgré ses essais. Il prend la température, jauge, observe, teste, discute, et tente de construire une opinion. « Je me donne du temps pour réfléchir… », résume-t-il.

Cet agriculteur vient de passer 5 ans et demi avec un téléscopique de marque John Deere. Mais il doit aujourd’hui en changer, avec plus de 5.000 heures à son actif. « Je pensais reprendre un John Deere, mais il ne se fabrique plus ! » précise Laurent Morel.

Je veux une machine fiable !

Quand on l’interroge sur ses critères de choix, celui-ci explique que « le plus important est la proximité de son concessionnaire ». « Je me vois mal partir faire 50 km pour aller chercher une pièce » ajoute-t-il.

Ensuite, un bon télescopique est, selon lui, un télescopique maniable : « Les essais que j’ai fait ici ne sont pas suffisants. Pour tester la maniabilité, il faut par exemple pouvoir placer des balles rondes de paille dans un bâtiment car un télescopique, c’est avant tout un matériel de manutention » explique l’éleveur.

Laurent Morel a aussi des contraintes de bâtiments. Il attache donc une importance au côté « compact » du télescopique. « Il doit avoir un faible empattement, mais aussi un rayon de braquage court, pour pouvoir notamment passer les piliers.  »

Enfin, dernier critère qu’il considérera lors de son achat, la fiabilité de la machine… avec le « service  qui va derrière »...

Pour en savoir plus :

• Textes, photos et vidéos : retrouvez toutes les informations sur la rubrique Terre à Terre 2008, édition spéciale télescopiques, en cliquant ICI. 

Terre à Terre 2008 : 400 agriculteurs pour « un autre regard sur le machinisme »

A découvrir également

Voir la version complète
Gérer mon consentement